Selon un rapport des Nations Unies, 37 des 41 parcs nationaux indonésiens seraient concernés par des coupes sauvages de bois. Cette pratique illégale serait largement le fait de sociétés internationales.
En cause la demande croissante de l'ensemble des filliére du bois.
"La pression du marché mondial conduit à une industrie d'exploitation du bois illégale dans les parcs nationaux", déclarait hier Achim Steiner le patron du Programme des Nations Unies pour l’Environnement ( Pnue ), en marge d'une conférence sur la mondialisation et l'environnement qui se tient à Nairobi.
c'est dur ce problème...d'une coté les pauvres qui essaient de gagner quelques sous, de l'autre, nous les riches, qui ne veulent pas payer trop chèr et de l'autre encore la terre qui se détruit et on est là en simple spectateur ne bougant pas...
et oui, j'ai vu ce pub horrible!!
bisous...
Rédigé par : zara whites | 08 février 2007 à 16:09
Si déjà les pays dits "développés" mettaient en place une législation qui interdirait la vente de produits en bois (que ce soit pour la construction et l'ammeublement) ne répondant à certains critères (comme la gestion durable de la forêt en premier lieu) ... C'est aux pays "riches" non seulement de montrer l'exemple, mais aussi, par cette exemplarité de pouvoir pousser les pays moins riches à adopter ces mesures nécessaires à tous.
Rédigé par : Cédric | 13 février 2007 à 13:33
Nouvelle-Guinée : Le merbau, bois tropical souvent utilisé pour les plancher de nous occidentaux, est surexploité. Si l'on considère que le commerce légal de cette essence, elle aura disparue d'ici 35 ans selon Greenpeace. Sachant que l'exploitation illégale représente plus des 3/4 des coupes (toujours selon Greenpeace), on peut s'attendre à une fin prématurée de ce bois.
Rédigé par : Cédric | 28 mai 2007 à 13:13