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23 mars 2007

Commentaires

Cédric

A noter également, Noe Conservation rejoint l'action, menée à l'origine par l'association Vivarmor, qui consiste à demander aux gens de laisser pousser sur une parcelle de leur jardin des herbes sauvages (orties, ronces, etc) et certaines plantes (comme le trèfle et les marguerites) afin de fournir à manger respectivement aux chenilles et aux papillons adultes.

Résultat, 100 hectares de refuges "créés" en 3 ans.

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